Personne ne sort gagnant(e) d’un conflit parmi toutes les victimes qu’il fait, et certainement pas les femmes et les filles, qui sont prises pour cibles par des groupes pratiquant la violence sexuelle en guise d’arme de guerre, de torture et de terrorisme. C’est sur ces mots que l’humanité toute entière a commémoré la journée internationale pour l’élimination des violences sexuelles en temps des conflits. Laquelle journée est célébrée le 19 juin de chaque année.
Cette commémoration tourne autour de la condamnation des actes macabres d’abus sexuels en temps de guerre, cela comprend le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution ainsi que la stérilisation forcée des organes génitaux.

Il s’agit par ailleurs de rendre hommage aux victimes et survivantes, et à celles et ceux qui luttent pour mettre fin à ces crimes abominables.
En République démocratique du Congo, surtout dans sa partie Est vue comme un espace en proie aux représailles de guerre, certaines femmes et filles conjuguent un seul verbe celui de crier au secours à cette emprise insupportable.
Notons que, les violences sexuelles liées aux conflits ont des conséquences dévastatrices sur les victimes et qui sont très souvent des civils qui gardent des séquelles physiques et psychologiques, on les prive non seulement de leur santé, de leur dignité et de leur droit à la paix, mais aussi de leur droit à la justice.
Rédaction
