C’est à la suite de la déclaration signée le 26 novembre 2016, que le collectif des députés nationaux de la première législature de la troisième république (législature 2006-2011) en rapport avec la situation politique de l’heure, ont rendu publiques leurs allégations.
« Les honorables députés nationaux 2006-2011, détenteurs privilégiés de la véritable légitimité populaire incontestée n’accepteront ni ne tolèreront jamais une quelconque transition qui ne tiendrait absolument compte d’eux en priorités ».
Ils plaident pour « le respect stricte de la constitution par l’organisation des élections libres, démocratiques et transparentes dans le délai constitutionnel. »
« nous soutenons et encourageons la médiation de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et les différentes prises des position du rassemblement des forces de l’opposition politique, de la France, de la Belgique, des Etats-unis d’Amérique et du parlement européen. Ne souscrivons pas à l’accord du 18 octobre 2016 parce qu’il énerve la constitution car, il est illogique et incohérent » peut-on lire dans la déclaration.