Après l’élection présidentielle, des élections législatives nationales et provinciales, celles des gouverneurs de provinces et sénateurs, devrait suivre les élections locales qui ne sont pas jusque là organisées sur toute l’étendue de la RDC.
Pour répondre à cette question, le Secrétaire exécutif provincial de la CENI, Gaudens Maheshe s’est exprimé devant la presse ce mardi 19 novembre 2019 à Bukavu, où il a donné des raisons du retard de ces élections.
Pour le SEP de la CENI Sud-Kivu, le retard de ces élections est dû au problème de la logistique et de la finance pour que ces dernières soient apaisées, transparentes et libre.
« Sur le calendrier électoral il était question que le 18 Mars 2019 la CENI puisse concéder à la convocation de l’électorat mais nous n’avons pas fait cela faute des moyens. Il faut encore 400 000 000$ pour organiser les élections qui restent », a dit le numéro un de la CENI Sud-Kivu.
Étant conscient de ce retard, le SEP craint que le fichier électoral ne soit qualifié incompatible ou avoir beaucoup de réclamation en provenance de nouveaux majeurs.
“Le temps passe. Bientôt nous serons à une année après les élections. Notre fichier électoral risque d’être qualifié de beaucoup de maux. C’est possible aussi qu’il aie beaucoup de réclamations en provenance de nouveaux majeurs… Et pourtant nous avons besoin des élections les plus apaisées possibles…”, a fait savoir le SEP
En rappel, la CENI n’a organisé que 5 scrutins sur 11 réservé au cycle électoral. Il reste 6 scrutin qu’on appelle globalement les élections locales.
Rachel Rugarabura, JRI
LA RDC EST RICHE. CEPENDANT, TOUT BESOIN FUTILE DES GOUVERNANTS, COUTEUX SOIT-IL, TROUVE SATISFACTION AU DETRIMENT DES QUESTIONS FONDAMENTALES DE LA NATION. C’EST DEPUIS 2002 QUE L’ACCORD GLOBAL ET INCLUSIF A PREVU DES ELECTIONS LIBRES A TOUS LES NIVEAUX, A PARTIR DES PREMIERS SCRUTINS (2006). MALHEUREUSEMENT, PENDANT QUE LA CLASSE POLITIQUE CONGOLAISE NE CESSE D’INCULQUER LA FAUSSE NOTION D’UNE RDC PAUVRE A SES CITOYENS, NOUS NE CESSONS D’OBSERVER PRESQUE TOUS LES DIRIGEANTS OCCUPER DES POSTES POLITIQUES ETANT PAUVRES, ET EN SORTIR MILLIONAIRES, SI PAS MILLIARDAIRES EN DOLLARS DANS UN LAPS DE TEMPS. CE N’EST DONC PAS LE MANQUE D’ARGENT QUI OBSTRUE LA TENUE DES ELECTIONS LOCALES, MAIS PLUTOT L’EGOISME, LA CORRUPTION, LE DETOURNEMENT DU TRESOR PUBLIC AU SEIN D’UNE PSEUDO DEMOCRATIE DE LA DICTATURE TRIOMPHALISTE DE SEIGNEURS DE GUEURE D’AVANT LA REUNIFICATION NATIONALE (2003), QUI CONTINUE D’EMBIGADER LA NATION PAR UN POUVOIR LOCAL ELITISTE POUR ALIMENTER LES COMPTES DES FAISEURS DES CHEFS DANS LES COULISSES…