Les négociations dans la sphère des élites congolaises bousculent vers une terminologie incertaines, le sous-secteur de l’enseignement supérieur et universitaire est forcément soumis à l’initiative impératives du mouvements de grève.
C’est dans une marge répréhensible que le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, a saisi l’opportunité à l’occasion de la 87 ème réunion du conseil des ministres, exprimé ses vives préoccupations face à insensibilité de la classe syndicale par rapport à ce qui se passe à l’Est du pays.
Au terme du temps qui était destinés aux appels de certains syndicats pour perturber l’année académique en cours pendant que, le processus de la mise en œuvre des Accords est en cours d’exécution.
« En ce qui concerne le mouvement de grève à l’Enseignement Supérieur et Universitaire, le Premier Ministre a exprimé ses vives préoccupations face à la résurgence des mouvements de grève observés dans le sous-secteur de l’Enseignement Supérieur et Universitaire », peut-on retenir du compte rendu du conseil des ministres.
L’occasion faisant le larron, il a tout de même appelé les syndicalistes à leur responsabilité, en cette période où le pays est confronté à la guerre d’agression, le Premier Ministre a instruit le Ministre sectoriel de renouer les pourparlers avec les syndicats et les chefs d’Etablissement avant la convocation de la Commission interministérielle.
Signalons en outre qu’à l’issue de son Assemblée générale, le réseau des associations des professeurs des Universités et Instituts Supérieur du Congo (RAPUICO) avait décidé de reprendre sa grève sèche, générale et illimitée jeudi 16 février 2023 pour l’année académique 2022-2023.
En effet, cette organisation des professeurs de la RDC dénonce le non-respect par le gouvernement des accords de Bibwa/N’sele qui restent en souffrance contrairement aux clauses et échéances convenues.
Dans plusieurs agglomérations urbaines et rurales des entités sous occupation des rebelles du M23, les activités à académiques et socio-économiques sont suffisamment perturbées par l’activisme du réseau des terroristes.
Avec les volcans news.net