Après avoir pointé du doigt « certaines autorités étrangères » qui seraient tentées de s’immiscer dans le processus électoral en cours en RDC, et qui auraient appelé à un « nouveau dialogue », le même ministère en remet une couche le samedi 15 septembre.
Sa cible ? Toujours ces « autorités étrangères » qui, cette fois, chercheraient à saper l’indépendance de la Cour Pénale Internationale.
« Plusieurs indices concordants indiquent que certains gouvernements exerceraient des pressions sur les juges de la CPI.
Objectif, viser la politique intérieure, voire les questions sous examens par devant cette institution en relation avec la situation en RDC.
Questions susceptibles d’avoir une incidence sur le processus électoral en cours dans ce pays », affirme le courrier.
Et le courrier d’expliquer que ces agissements, absolument pas prouvés, remettent en cause l’image de l’institution et sapent sa crédibilité. Et d’ajouter que d’autres pays partagent cet avis.
Eugide Abalawi Ndabelnze