Bukavu-Medias : L’émission J-débat a vécu

Le journal en ligne Jambordc.info basé à Bukavu, a produit le troisième numéro de son émission « Jambo Débat ou J-Débat », samedi 24 juin 2018. Cette émission publique présentée par les journalistes de la rédaction infos de Jambord.info, dans le beau cadre de l’Ecole Technique de Journalisme de Bukavu, a porté sur trois thématiques qui défrayent l’actualité ces jours-ci.

Il s’agit de l’« Organisation d’un forum intercommunautaire pour le développement de la province du Sud-Kivu ».

Ce sujet présenté par le journaliste Jean-Marie Mulume et a été débattu par trois invités dont Kyalangalwa Nicolas, membre du Bureau de coordination de la société civile, madame Gisèle Balegamire, notable d’Idjwi et membre de la mutualité Havu et Déo Bisimwa, président de l’APODEGA Sud-Kivu (une structure des politologues du Sud-Kivu).

Le deuxième sujet a porté sur la «  Démission des agents du Centre National de Traitement de la CENI et leur impact sur le processus électoral ».

Trois invités dont Josée Emina, présidente fédérale de l’UDPS Sud-Kivu, Patrice Lwabaguma coordonnateur de l’Institut pour la gouvernance et l’éducation électorale, et Maombi  Jean, de Mouvement National congolais/Lumumba, ont débattu sur ce sujet coprésenté par les journalistes Materne Nsiku et Jean-Marie Mulume.

Et puis, Christopher Bisimwa Safari, président fédéral de l’ARC, parti d’opposition, Parfait Namegabe, membre de la Sajecek-Forces vives, et Kahindo Maombi  du Mouvement National congolais/Lumumba, parti de la Majorité, ont planché sur le thème « Etat des lieux des droits humains dans le Sud-Kivu et perspectives ».

Ce débat a été conduit par le journaliste Eugide Abalawi Ndabelnze et Rachel Rugarabura, étudiante stagiaire au journal jambordc.info.

Le public, de plus de 50 participants venus de plusieurs coins de la ville de Bukavu, a saisi cette occasion pour vider son carquois.

Les participants, ont pris une part active à ces trois productions et posé des questions pertinentes aux différents co-débatteurs pour éclairer leur lanterne sur certains aspects.

Gisèle Banywesize

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