Kalehe: OBAPG-RDC alerte sur la présence d’une dizaine des barrières illégales payantes à Kalonge

Le mouvement citoyen Observatoire d’Actions Parlementaires et Gouvernementales (OBAPG-RDC) noyau de Kalonge alerte les autorités politico-admnistratives et militaires sur la présence de plus de dix (10) barrières illégales payantes sur le long des routes dans le groupement de Kalonge en territoire de Kalehe au Sud-Kivu.

Dans une dépêche rendue publique ce vendredi 18 mars 2021, cette structure citoyenne indique que ces barrières illégales érigées dans cette partie de lq province du Sud-Kivu mettent en difficulté les usagers de cette route.

OBAPG-RDC de Kalonge demande au commandant de la 33ème région militaire de s’impliquer pour ordonner la suppression de ces barrières illégales.

Ce mouvement citoyen renseignent par ailleurs que ces barrières illégales sont érigées par certains éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) basés à kalonge et que d’autres barrières sont l’œuvre des gardes-Parc de Kahuzi-Biegga. Ceci avant d’ajouter que ces dernières sont érigées sur la route qui mène vers Kalonge.

Selon l’un des militants de OBAPG-RDC Pacifique Kampanda, ce ces barrières, à ces barrières illégales on exige à chaque passager un montant allant de 200 à 500fc voire plus à l’aller comme au retour.

« C’est une situation déplorable que traverse la population de kalonge qui se voit abandonner à son triste sort, c’est ainsi que nous demandons au commandant de la 33ème région militaire à s’impliquer personnellement pour que soient supprimées toutes ces barrières qui obstruent la libre circulation des paisibles citoyens pourtant leur garantie par la loi fondamentale », Conclut-il.

Les militants de ce mouvement citoyen promettent de lancer des actions citoyennes non violentes si une solution meilleure n’est pas trouvée dans un bref délai.

Contacté à ce sujet,le commandant des FARDC basés à Kalonge, nit catégoriquement ces allégations et renseigne qu’il s’agit des postes de contrôle et non des barrières.

Natasha Balegamire

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