La pratique d’une activité sportive a de l’importance dans la vie humaine.
Le sport permet de limiter la prise de poids et le risque de diabète gestationnel, d’améliorer le bien-être psychique en diminuant la fatigue, l’anxiété, la dépression et facilite même l’acceptation des modifications corporelles.
L’organisation mondiale de la santé et d’autres professionnels de la santé recommandent une pratique régulière du sport pour le bien être du corps.
Malgré ces différentes recommandations, des femmes et jeunes filles de la ville de Bukavu éprouvent de difficultés pour pratiquer le sport suite au manque des infrastructures adéquates.
Des terrains de jeu et salles des sports construits à l’époque coloniale en province du Sud-Kivu, auraient été spoliés et d’autres en mauvais état. Une situation qui étouffe les talents des jeunes et qui bloque particulièrement l’émergence du sport féminin.
Le recul des pratiques sportives chez les jeunes, et plus particulièrement chez les filles issues de milieux défavorisés semble préoccuper la division provinciale du sport et loisirs.
Dans une interview accordée à Jambordc. info ce mercredi 06 Avril 2022, N’Nacahi Mbilika Pascal, chef de division du sport et loisir au Sud-Kivu a promis d’approcher le gouverneur de province pour trouver des alternatives dans le but de procéder à la réhabilitation de certaines infrastructures afin de relancer même le championnat féminin en province.
Pour rappel, en date du 18 Novembre 2021, Venantie Bisimwa, présidente provinciale de la ligue de Jiu Jitsu était à la première ligne lors de la marche tenue à Bukavu pour réclamer la récupération et la réhabilitation des certaines infrastructures sportives spoliées.
De Don