Bukavu : La NDSCI-Bagira plaide pour la réhabilitation du tronçon routier place de l’Indépendance-Ciriri

La Nouvelle Dynamiques de la Société Civile communale de Bagira (NDSCI) condamne avec amertume le délabrement très avancé du tronçon routier Place de l’Indépendance-Ciriri situé dans les communes de Kadutu et Bagira dans la ville de Bukavu au Sud-Kivu. Elle plaide aussi pour sa réhabilitation dans une extrême urgence afin de prévenir les risques d’accidents en cette période pluvieuse. Cette structure l’a dit dans une déclaration rendue publique ce jeudi 20 novembre 2020 et dont copie a été réservée à Jambordc.info.

Dans cette communication signée par son vice-président, Wilfred Habamungu, cette structure citoyenne renseigne qu’à chaque tombée de la pluie, les véhicules quittant la place de l’Indépendance vers Ciriri, du Lycée Wima-Mugugo, ont ce dernier temps du mal à traverser au niveau de Camp TV jusqu’à Busoka. D’où selon elle, la nécessité de réhabiliter urgemment cette route pour prévenir les cas d’accidents qui peuvent y surgir.

La NDSCI/Bagira demande cependant aux autorités ayant en charge les infrastructures routières de voir comment rendre de nouveau operationnelle cette route. Ceci pour permettre aux conducteurs d’exercer en toute quiétude et faciliter la circulation aux personnels de l’Hôpital de Référence de Ciriri, des petits commerçants, les enseignants ainsi que des élèves de différentes écoles de cette partie de la ville de Bukavu afin de vaquer librement à leurs occupations quotidiennes.

A cette structure citoyenne d’ajouter que la dégradation de ce tronçon routier est également à la base de la hausse de prix de transport en commun surtout à des heures tardives et dont la principale victime demeure la population de cette contrée.

Signalons que plusieurs tronçons routiers de la ville de Bukavu se trouvent actuellement dans un état critique et que les travaux de réhabilitation de certaines routes en commune d’Ibanda évoluent à pas de tortues, d’autres inachevés, une situation qui inquiète plus d’un observateur.

Moïse Aganze

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