À deux mois des élections générales au pays, la tension est montée d’un cran entre l’opposition et la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Une tension qui survient au lendemain de l’échec des discussions mercredi 10 octobre, entre les candidats à la présidentielle du 23 décembre et le Bureau de la Centrale électorale.
Les opposants, les sept plus grands, ont décidé de mettre la pression sur le pouvoir organisateur des élections.
Les leaders de ces formations politiques (ceux présents au pays) se sont donné rendez-vous ce samedi 13 octobre à Lubumbashi pour « la tenue d’un grand meeting ».
Ces opposants invitent le peuple congolais à se mobiliser dans le cadre du programme d’actions qu’elle a préparé pour exiger l’impression des bulletins de vote manuel, conformément à la loi électorale et au calendrier publié par la CENI.
Ce, avant de réaffirmer leur exigence de vider les questions en rapport avec la légalité de la machine à voter et les électeurs sans empreintes digitales dans le cadre de la commission technique mise en place en accord avec la CENI.
Abel