Les épreuves de Test National de Sélection et d’Orientation scolaire et professionnelle (TENASOSP) première édition, ont débuté ce jeudi 14 juillet sur toute l’étendue du territoire national.
Au Sud-Kivu, c’est le vice-gouverneur Marc MALAGO Kashekere qui a lancé officiellement ces épreuves, ce jeudi 14 juillet 2022 à l’Athénée d’Ibanda à Bukavu.
Au total, nonante trois mille huit cent et neuf (93 809) candidats participent à cette première édition de ce test dont 26 864 filles avec un taux de participation de de 46,83% pour le compte de la province éducationnelle Sud-Kivu 1.
A cette occupation, Marc MALAGO a précisé que ces épreuves de grande importance permettront aux évaluateurs d’orienter les candidats vers une section ou filière aux humanités qui concorde avec sa capacité de réussite à ce test national.
” Nous remercions en premier lieu le président de la République Démocratique du Congo Félix Antoine TSHISEKEDI qui a compris que le développement de la RDC dépend de l’émergence des élites bien formées et de la classe moyenne à travers la formation technique et l’apprentissage professionnel en pensant à ces épreuves qui sont d’une importance capitale pour la nation et pour les candidats qui à travers ce dernier sauront s’orienter aux humanités ou soit s’inscrire dans un centre de formation professionnelle dans le but d’apprendre un métier de leurs compétences et aptitudes”, a déclaré le vice-gouverneur Malago.
Ce dernier a cependant, invité tous les candidats à travailler en toute conscience et morale irréprochables. Il les exhorte à la discipline, à la confiance en eux-mêmes et au travail individuel pour savoir tester leurs capacités.
Malago a également félicité et encouragé les enseignants ainsi que les parents pour leurs efforts qui ont permis aux candidats d’arriver à ce jour décisif qui conditionnera leur avenir.
Signalons que pour cette première journée, les candidats ont été soumis aux épreuves de psychologie et Mathématiques. Ils passeront ce vendredi 15 juillet, les épreuves de français et culture générale.
Gisèle Bashwira