Bukavu/JI de la télévision :Venantie Bisimwa recommande aux parents de règlementer les heures de suivi de la télévision pour leurs enfants

Pendant que l’humanité a célébré la journée de l’enfant le 20 novembre, celui-ci reste très accroché à la visualisation de la télévision.

La rédaction de jambordc.info a analysé cette situation ce lundi 21 novembre pendant que le monde commémore la journée de la télévision.

Dans une interview nous accordée, la sociologue Venantie Bisimwa attire l’attention des adultes sur la réglementation des heures que leurs enfants doivent passer devant la télévision.

Celle-ci laisse entendre qu’il serait souhaitable que ces derniers établissent un horaire à respecter scrupuleusement aussi bien pour les enfants que pour les adultes en famille étant donné qu’abuser de la visualisation de la télévision peut donner lieu à des conséquences.

Elle fait par exemple allusion au fait que sur le plan sanitaire, la sédentarité qu’exige cette pratique est à la base de plusieurs maladies chroniques à la longue. Cela expose aussi plusieurs familles à la pauvreté vu la main d’œuvre inactive qui reste concentrée à télévision en consommant sans produire.

“La concentration à la télévision pendant longtemps entraîne plusieurs conséquences dont celles liées à la santé physiologique, à la culture, au social et plusieurs autres aspects. Sur le plan physiologique par exemple, restez exposé à la télévision en étant assis pendant un long moment est à la base de beaucoup de problèmes vu que le corps n’a pas l’opportunité de dépenser l’énergie pour son bon fonctionnement. Sur le plan économique, plus on ne produit pas, plus on aura rien à apporter à la société. Cette pratique limite aussi la cohésion sociale par le fait que tout le monde est occupé par son film et personne n’assistera l’autre”, a-t-elle dit.

Venancie Bisimwa invite les parents et adultes à déterminer le temps à consacrer sur la télévision et les chaînes à suivre pour combattre toutes les conséquences possible.

Cette dernière insiste surtout à cette réglementation à l’endroit des enfants étant plus vulnérables.

 

Gisèle Bashwira

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