En mémoire de la célébration de la journée mondiale de la justice internationale, le 17 juillet, la Nouvelle dynamique de la Société civile (NDSCI) dans la ville de Bukavu en province du Sud-Kivu, salue le travail de la Cour pénale internationale. Se confiant à JAMBORDC.INFO, Jordan Muke, rapporteur urbain de la NDSCI estime que le travail de la CPI est louable.
« Nous saluons beaucoup le travail de la justice Internationale, ils abattent un travail de titan que nous ne pouvons que louons. Il y a des dossiers dans notre pays dans lesquels les avocats ne peuvent même parler, par exemple le dossier de Mbobero qui oppose le président Joseph Kabila à la population. Là, on ne peut que recourir à la justice internationale », souligne Jordan Muke, rapporteur Urbain de la Nouvelle Dynamique de la Société Civile, (NDSCI) à Bukavu.
Il regrette, toutefois, qu’il y ait des pays où la justice est quasi-respectée.
« …il y a des pays où la justice n’existe plus, où les droits des humains sont bafoués. C’est le cas de la RDC où, quand nous menons des plaidoyers, il y a des cas où nous sommes bloqués », se lamente-t-il.
Pour cette structure citoyenne, la Cour pénale internationale devrait accentuer les mécanismes pour contraindre tous les pays du monde au respect de la justice.
Ishara Masirika